Grégory D’Hallewin
						18 septembre 2025
					 
			
			
			Manlio Dinucci
						3 mai 2025
					 
			
			
			Roland Marounek
						1er mai 2024
					 
			
			
			Hegwig Kuijpers
						28 mars 2021
					 
			
			
			Hegwig Kuijpers
						2 février 2021
					 
			
			
			M K Bhadrakumar
			INDIAN PUNCHLINE
			10 décembre 2020
					 
			
			
			M K Bhadrakumar
			INDIAN PUNCHLINE
			21 novembre 2019
					 
			
			
			Manlio Dinucci
			il manifesto
			18 juin 2019
					 
			
			
			Manlio Dinucci
			il manifesto
			15 mai 2018
					 
			
			
			M K Bhadrakumar
			Strategic culture
			6 février 2018
			Téhéran a commencé à souligner d’une voix forte et grave son inquiétude envers le fait que les États-Unis soit en train de transférer des combattants d’État islamique (EI) de Syrie et d’Irak, où ils ont été vaincus, vers l’Afghanistan.
		 
			
			
			M K Bhadrakumar
			INDIAN PUNCHLINE
			24 juillet 2014
					 
			
			
			Claudine Pôlet
						1er octobre 2012
					 
			
			
			M. K. Bhadrakumar
			Asian Times
			7 février 2012
					 
			
			
			Stephen Gowans
						16 novembre 2011
			« Lorsque les  États-Unis regardent vers l'Asie, ils voient la Chine partout. » titre une manchette du New-York Times...
		 
			
			
			Manlio Dinucci
						3 novembre 2011
			Les avions de chasse OTAN stationnés à Decimomannu (Cagliari, Sardaigne) avaient à peine fini de bombarder la Libye que s’est immédiatement déroulée dans la base aérienne la manœuvre Vega 2011. Hôte d’honneur l’aviation israélienne, qui, avec celles italienne, allemande et hollandaise, s’est exercée à des « attaques à longue portée ». Comme le rapporte ce matin la presse israélienne elle-même, ceci entre dans le cadre de la préparation d’une attaque contre les implantations nucléaires iraniennes. La manœuvre fait partie de la coopération militaire Italie-Israël, établie par la Loi du 17 mai 2005. Elle entre aussi en même temps dans le « Programme de coopération individuelle » avec Israël, ratifié par l’OTAN le 2 décembre 2008, trois semaines environ avant l’attaque contre Gaza. Elle comprend non seulement des manœuvres militaires conjointes, mais l’intégration des forces armées israéliennes dans le système électronique OTAN et la coopération dans le secteur des armements. C’est ainsi que la seule puissance nucléaire de la région, Israël, se trouve de fait intégrée dans l’OTAN même si elle refuse de signer le Traité de non-prolifération (alors que l’Iran, qui ne possède pas d’armes nucléaires, l’a signé).
		 
			
			
			Roland Marounek
						31 mars 2011
					 
			
			
			Roland Marounek
						5 janvier 2011
					 
			
			
			Roland Marounek
						1er octobre 2010
					 
			
			
			Roland Marounek
						1er octobre 2010
					 
			
			
			
			Claudine Pôlet et Georges Berghezan
						2 janvier 2010
					 
			
			
			Roland Marounek
						4 juillet 2009
					 
			
			
			Claudine Pôlet
						18 mars 2007
			Le sommet de Riga n’avait certes pas discuté ni entériné 
publiquement l’adhésion d’Israël à l’Otan, il n’avait pas débattu non plus d’une 
possible agression nucléaire contre l’Iran. Les divergences et les craintes de 
certains pays membres risquaient de s’étaler trop ouvertement. La règle du 
consensus devait être sauvée dans la forme. Il n’empêche que dans les cercles 
dirigeants de l’Otan, à l’abri des institutions et des opinions publiques, 
Israël fait déjà partie de l’Otan et les plans de guerre inclus nucléaire 
s’élaborent contre l’Iran.
		 
			
			
			Michel Chossudovsky
			Global Research
			10 février 2006
			La préparation d'une véritable guerre contre l'Iran au cours de laquelle des ogives nucléaires pourraient être utilisées est entrée dans sa phase finale. Les partenaires de la coalition qui comprend les USA, Israël et la Turquie sont "dans un état de préparation avancé". Le projet militaire a été approuvé par l'OTAN mais on ne connaît pas encore les modalités de la participation de l'Alliance aux attaques aériennes. Le fait que les USA et Israël préparent un holocauste nucléaire au Proche-Orient ne figure pas au programme des anti-guerre et des anti-mondialisation.
		 
			
			
			Roland Marounek
						30 septembre 2005
			...l'Europe envoyée en avant tireur pour ces négociations avec l'Iran, serait beaucoup plus crédible dans sa volonté affichée de lutter contre la prolifération nucléaire, si elle commençait elle-même par se débarrasser des bombes nucléaires qui se trouvent sur son territoire. Pour rappel, 480 têtes nucléaires bien réelles, elles, sont disposées en Europe dans plusieurs pays de l'OTAN, dont la Belgique, en violation du TNP. Avant de se laisser emporter dans une campagne contre la menace iranienne, et de participer éventuellement à de nouvelles agressions préventives, nous devons exiger de nos gouvernements que nos propres pays cessent d'être la base de menaces nucléaires.