6 juin, à 80 ans du débarquement: Le jour (ou le mensonge... ) le plus long ?
Alerte Otan n°91
Date : 1er mai 2024
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L’Ukraine et les leçons de dignité de l’Amérique Latine
Alerte Otan n°86
Date : 1er mars 2023
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Alep, Mossoul, Tel-Aviv et le rôle de la propagande de guerre
Alerte Otan n°63
Date : 1er janvier 2017
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Pierre Piérart, souvenir et exemple dans ces heures sombres
Alerte Otan n°54
Date : 6 août 2014
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Au Mali, les aberrations de la politique africaine de la France
Alerte Otan n°49
Date : 1er avril 2013
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Libye, Côte D’Ivoire : Sarkozy jouant au néo-conservateur ?
Alerte Otan n°42
Date : 30 juin 2011
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Cote d’Ivoire : Le troublant jeu des Nations Unies
Alerte Otan n°41
Date : 5 janvier 2011
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Le grand retour du militarisme nippon ?
Alerte Otan n°25
Date : 18 mars 2007
La tournée européenne de l’homme politique japonais et, en
particulier, ses visites aux sièges de l’UE et de l’OTAN, méritent probablement
le qualificatif d’historique. En effet, c’est la première fois qu’un chef d’un
gouvernement supposé observer, par mandat constitutionnel, une vocation
pacifiste, se rend en visite officielle au siège d’une alliance militaire avec
l’objectif – certes, encore non avoué – de préparer l’entrée du Japon comme
membre à part entière de cette alliance.
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Le silence final de Milosevic
Alerte Otan n°21
Date : 31 mars 2006
Lorsque, en octobre 1999, j’interrogeais l’ancien Secrétaire Général des Nations Unies Javier Pérez de Cuellar en fonctions pendant la naissance de la crise balkanique à propos de l’inculpation qui venait d’être lancée contre le président yougoslave Milosevic, ce diplomate me répondit : « Si ce Tribunal s’intéressait vraiment à juger les responsables de la tragédie yougoslave, il devait plutôt interroger Hans-Dietrich Genscher ».
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Milosevic au TPI : Celui qui doit se taire
Date : 16 septembre 2004
Voilà que les raisons « humanitaires », qui avaient si efficacement servi à justifier le bombardement de la Yougoslavie en 1999, semblent toujours d’usage pour, cette fois, parachever la besogne en ordonnant le silence forcé de son ancien président. Ainsi, les juges du Tribunal pénal international de La Haye, faisant preuve d’une soudaine sollicitude pour l’état de santé de Slobodan Milosevic ont estimé qu’il est « trop malade pour assurer lui-même sa défense » et ont décidé de lui imposer les « services » de deux avocats, travaillant pour le compte dudit Tribunal.
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Combat anti-américain ou anti-impérialiste ?
Alerte Otan n°6
Date : 1er octobre 2001
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L'uranium et les risques d'un débat appauvri
Alerte Otan n°4
Date : 1er février 2001
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Élections en Yougoslavie : Quand les crédits succèdent aux bombes
Alerte Otan n°3
Date : 30 novembre 2000
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