Fathi Nimer, chargé de mission sur la Palestine à Al-Shabaka
Newsletter de l’Association Belgique Palestine de janvier 2024
31 janvier 2024
Tribune d’un collectif de professeurs de droit international
La Libre
31 janvier 2024
Comité de Surveillance Otan
21 novembre 2023
Manlio Dinucci
Byoblu 
17 novembre 2023
Nico Hirtt
4 novembre 2023
The Times of Israël
3 septembre 2021
M K Bhadrakumar
INDIAN PUNCHLINE
21 novembre 2019
Manlio Dinucci
il manifesto
23 mai 2018
Manlio Dinucci
il manifesto
15 mai 2018
M K Bhadrakumar
INDIAN PUNCHLINE
11 septembre 2017
Manlio Dinucci
il manifesto
10 mai 2016
M K Bhadrakumar
INDIAN PUNCHLINE
23 décembre 2015
Edouard Brion
12 janvier 2014
Manlio Dinucci
il manifesto
24 septembre 2013
Manlio Dinucci
3 novembre 2011
Les avions de chasse OTAN stationnés à Decimomannu (Cagliari, Sardaigne) avaient à peine fini de bombarder la Libye que s’est immédiatement déroulée dans la base aérienne la manœuvre Vega 2011. Hôte d’honneur l’aviation israélienne, qui, avec celles italienne, allemande et hollandaise, s’est exercée à des « attaques à longue portée ». Comme le rapporte ce matin la presse israélienne elle-même, ceci entre dans le cadre de la préparation d’une attaque contre les implantations nucléaires iraniennes. La manœuvre fait partie de la coopération militaire Italie-Israël, établie par la Loi du 17 mai 2005. Elle entre aussi en même temps dans le « Programme de coopération individuelle » avec Israël, ratifié par l’OTAN le 2 décembre 2008, trois semaines environ avant l’attaque contre Gaza. Elle comprend non seulement des manœuvres militaires conjointes, mais l’intégration des forces armées israéliennes dans le système électronique OTAN et la coopération dans le secteur des armements. C’est ainsi que la seule puissance nucléaire de la région, Israël, se trouve de fait intégrée dans l’OTAN même si elle refuse de signer le Traité de non-prolifération (alors que l’Iran, qui ne possède pas d’armes nucléaires, l’a signé).
Marcel Poznanski
1er juillet 2010
Manlio Dinucci
il Manifesto
1er juin 2010
Action des Citoyens pour le Désarmement Nucléaire (ACDN)
12 février 2009
L’Action des Citoyens pour le Désarmement Nucléaire (ACDN) a poursuivi son enquête sur les 1000 bombes guidées GBU-39 livrées à Israël par les États-Unis quelques semaines avant l’opération « Plomb durci » contre Gaza. L’enquête confirme l’essentiel des allégations initiales de l’association : ces armes radioactives contiennent bien de l’Uranium Appauvri, qui en fait des armes à caractère génocidaire.
Marcel Poznanski
30 juin 2008
Réseau Voltaire
3 juillet 2007
Le 2 juillet 2007, Mordechaï Vanunu a été condamné par la « justice » israélienne à 6 mois de prison de prison ferme et 6 mois avec sursis pour avoir brisé « sa promesse de silence », c’est à dire non pas pour avoir tenu des propos illégaux, mais pour s’être exprimé.
Claudine Pôlet
18 mars 2007
Le sommet de Riga n’avait certes pas discuté ni entériné publiquement l’adhésion d’Israël à l’Otan, il n’avait pas débattu non plus d’une possible agression nucléaire contre l’Iran. Les divergences et les craintes de certains pays membres risquaient de s’étaler trop ouvertement. La règle du consensus devait être sauvée dans la forme. Il n’empêche que dans les cercles dirigeants de l’Otan, à l’abri des institutions et des opinions publiques, Israël fait déjà partie de l’Otan et les plans de guerre inclus nucléaire s’élaborent contre l’Iran.
Marcel Poznanski
30 septembre 2006
6 décembre 2005
Baudouin Loos
Le Soir
21 novembre 2004
Mordehai Vanunu a payé cher ses révélations sur les capacités nucléaires militaires d'Israël. C'était en 1986. Dix-huit ans de prison plus tard, il continue son combat...
Mouvement Chrétien pour la Paix
10 novembre 2004
Rencontre à Jerusalem de représentants du Mouvement Chrétien pour la Paix avec Mordechaï Vanunu
BBC
29 octobre 2004
«Mordechai Vanunu a été libéré de prison le 21 Avril de cette année mais la permission de quitter Israël lui a été refusée et de nombreux interdits lui sont imposés, y compris celui de communiquer avec des étrangers, que ce soit en personne ou même au téléphone. En dépit de ces interdits, il se joint à nous de Jérusalem pour sa première interview télévisée depuis qu’il a été libéré.»
Pierre Piérart
26 juin 2004
Pendant les 18 ans qu’a duré le calvaire de Mordechai Vanunu la presse francophone n’en a pas parlé. C’est la raison pour laquelle Mordechai Vanunu n’est pas connu du public. Il a été kidnappé à Rome par les services secrets israéliens pour avoir révélé au « Sunday Times » l’existence d’un arsenal nucléaire de l’Etat hébreux. Cela lui a coûté 18 années d’emprisonnement dont 12 avec mise au secret.
11 septembre 2003
Vanunu a été condamné par la justice israélienne de façon totalement inhumaine en ignorant de surplus la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme. L'article 9 stipule que «Nul ne peut être arbitrairement arrêté, détenu ou exilé » alors que Vanunu a été pris en filature à Londres et enlevé arbitrairement à Rome le 30 septembre 1986.